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Buena Vista Social Club: Adios

Lucy Walker, Cuba, 2017

Les musiciens du Buena Vista Social Club ont fait découvrir au monde entier la vitalité de la culture cubaine grâce à leur emblématique album de 1997 sorti chez World Circuit Records, et à travers le documentaire de Wim Wenders nommé à l'Oscar Buena Vista Social Club.
Buena Vista Social Club: Adiós, retrace aujourd'hui le parcours du groupe dans la captivante histoire musicale de Cuba, tandis que ses membres reviennent sur leurs remarquables carrières et les extraordinaires circonstances qui les ont réunis.
Les musiciens du Buena Vista Social Club ont fait découvrir au monde entier la vitalité de la culture cubaine grâce à leur emblématique album de 1997 sorti chez World Circuit Records, et à travers le documentaire de Wim Wenders nommé à l'Oscar Buena Vista Social Club.
Buena Vista Social Club: Adiós, retrace aujourd'hui le parcours du groupe dans la captivante histoire musicale de Cuba, tandis que ses membres reviennent sur leurs remarquables carrières et les extraordinaires circonstances qui les ont réunis.
Durée
110 minutes
Langue
VO espagnol/ anglais
Sous-titres
allemand, français
Qualité
1080p
Disponibilité
Suisse, Liechtenstein
Conducta
Ernesto Daranas
Cuba
108′
Chala est un gamin dont l’enfance a été volée. Sa mère alcoolique est incapable de s’occuper de son foyer et malgré le peu d’amour qu’elle lui montre, il prend soin d’elle et de la maisonnée. Il ne connaît pas son père qui ne veut pas le reconnaître. Pour ramener de l’argent à la maison, il élève et entraîne des chiens de combat. Ce serait un délinquant en puissance s’il n’existait Carmela et Yeni. La première est la vieille institutrice de l’école, la seconde est la première de la classe... Conducta (Comportement), ce sont de superbes histoires d’amour qui s’additionnent. Il y a celles de Chala pour sa mère, pour Carmela sa vieille institutrice, pour Yeni, la petite fille sage. Ensuite, celle de Carmela pour les enfants qui lui sont confiés. La vieille institutrice montre une volonté inébranlable pour les protéger et défendre l’avenir de «ses» enfants. Il y a enfin, l’amour qu’exprime le réalisateur pour son pays, ou plutôt pour les gens qui habitent son pays. Tout cela donne un film paradoxalement et incroyablement optimiste au regard de la misère humaine et de la rigidité sociale qu’il met en scène car le film exprime une chaleur humaine qui semble capable de tout emporter avec elle.
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La vida es silbar & Schwerelos (1998)
Fernando Pérez
Cuba
106′
La Havane, aujourd'hui, avec trois personnages en quête de bonheur, qui doivent prendre d'importantes décisions, tentent d'affronter la peur de la vérité, des mots et des idées pour se lancer dans un nouveau départ. Mariana souhaiterait vivement danser le rôle-titre de Giselle et désire avec la même ardeur les corps masculins. Elpidio le musicien a été abandonné par sa mère, Cuba. Il ne correspondait pas à ses attentes. Julia, aide-soignante, est sujette à des évanouissements, notamment dès qu'elle entend le mot "sexe". Il est fantastique de voir comment ce film conjugue ces trois parcours de vie avec le bonheur comme destination, ce bonheur à portée de main. Il suffirait de le saisir, de cesser de s'en remettre au seul destin, de prendre l'initiative, de se réjouir, de danser, de se rapprocher, de siffler les conventions étriquées de la vie, autrement dit de s'en moquer. BONUS: Als Zugabe gibt's den Bergsteiger-Dokumentarfilm mit Daniel Anker, der in den 1990er Jahren eine neue Route durch die Eiger-Nordwand gelegt hat und sie als Liebhaber des Films «La vida es silbar» nannte. Sie erfreut sich bei jenen, die gerne Klettern, als beliebt.
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Melaza
Carlos Lechuga
Cuba
82′
Monica et Aldo vivent à Melaza, un village cubain, où comme beaucoup ils mènent une vie des plus modestes. Tous les matins, ils empruntent, main dans la main, la rue principale du village pour se rendre à leur travail : Monica est gardienne de l’usine désaffectée de Rhum et Aldo est instituteur. MELAZA est une belle histoire d’amour, simple et émouvante, avec en toile de fond la routine d’un jeune couple cubain, héros du quotidien, confronté au manque de ressources et aux galères de l’île. Les décors sont magnifiques, les acteurs touchants. Pour s’en sortir avec leurs deux maigres salaires, Aldo et Mónica ont des combines, comme de «prêter» leur maisonnette à une amie prostituée. Cela leur vaudra une amende de la police car il n’ont pas le permis de louer leur chambre. Pour trouver la somme, colossale comparée à leur revenu, Aldo se lancera dans un trafic tout aussi interdit et dangereux: transporter et vendre de la viande à La Havane. Il faudra se souvenir de ce nom, Carlos Lechuga, car son premier film, Melaza, est une véritable perle qui ne cesse de nous surprendre tout au long de ses quatre vingt minutes. D’une histoire déjà vue mille fois - un couple se battant pour survivre dans un pays en proie à des difficultés économiques insurmontables - , avec une mise en scène en apparence rudimentaire, voire austère, Lechuga arrive à nous prendre à contre-pied au milieu du plan le plus évident. Cela commence dès la première scène: un couple fait l’amour dans un hangar, la caméra les observe de loin, en toute discrétion pourrait-on dire. Une fois fini, les deux se lèvent, s’habillent et s’en vont... le matelas sous le bras. Cette scène, racontée, n’a l’air de rien car il faut la «voir» pour se rendre compte de son effet. Et n’est-ce pas là qu’on trouve la vocation du cinéma? Ajouter, grâce à l’image et au mouvement, de la poésie à la réalité, à la banalité, du quotidien. En d’autres termes, le réalisme poétique qui définit si bien le cinéma latino-américain et qu’on découvre presque à chaque coin de plan dans Melaza. A cette poésie, Lechuga ajoute l’humour qui surgit des pas de côté, ou de fausses digressions d’un récit en fait simplissime. Au bout du compte, il se dégage de Melaza un sentiment de tendresse qui petit à petit imprègne le film, comme si la douce torpeur des nuits cubaines pénétrait jusque dans nos salles.
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Quiereme y veras (1994)
Daniel Díaz Torres
Cuba
53′
Trois petits escrocs sont persuadés de réusssir le coup de leur vie, le cambriolage de la 'Bank of America' durant cette nuit de la Saint-Sylvestre 1958. Un moment vraiment mal choisi, car c'est précisément lors de cette nuit que la Révolution cubaine éclate dans les rues de La Havane. Encore maintenant, ces trois drôles de compères songent à ce qu'ils seraient devenus sans cette Révolution... A vrai dire, deux d'entre eux se sont depuis longtemps adaptés aux conditions de vie de La Havane d'aujourd'hui. Seul Juventino persiste à vivre dans ses rêves et ses illusions. Il trouve une complice en Dora, une diseuse de bonne aventure qui l'aide à percevoir une peu de réalité dans ses chimères. Un jour qu'il se trouve devant cette fameuse banque, devenue nationale depuis la Révolution, Juventino récupère sans le vouloir une enveloppe bourrée d'argent qu'une femme élégante vient de perdre au cours d'une mêlée avec des voleurs à l'arraché. Dès lors, il se consacre entièrement à la recherche de cette femme, qui n'est plus toute jeune, en qui il croit reconnaître un amour du temps jadis. Mais sa recherche va tourner tout autrement que prévu. Un mélodrame tragicomique, mélancolique et drôle comme le serait un boléro enjoué, plein de charme et d'entrain. Un monde magique et irréel qui peut conjurer le hasard et l'incertitude. Ce n'est pas pour rien que le film 'Quiereme y veras' ('Aime-moi et tu verras') porte le titre d'un boléro célèbre dans toute l'Amérique latine.
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La muerte de un burócrata (1966)
Tomás Gutiérrez Alea
Cuba
84′
Paco, un ouvrier cubain émérite, meurt broyé par sa machine à fabriquer des bustes mortuaires. Selon ses voeux, on l'enterre avec son livret de travail. Malheureusement, sa veuve, pour recevoir sa pension, est obligée de fournir ce fameux livret. Le neveu du défunt entreprend alors les démarches nécessaires pour le récupérer. Une comédie sur la logique kafkaienne des bureaucrates.
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Mémoires du sous-développement (1968)
Tomás Gutiérrez Alea
Cuba
99′
La révolution castriste marqua la fin, pour beaucoup de Cubains, de la dictature et le début de la construction d'une société où les rapports de classe seraient changés. Sergio fait partie de la bourgeoisie, toute sa famille a quitté l'île pour Miami, mais lui est resté. plus par paresse que par conviction. Seul, il prétend rédiger ses mémoires et observer le nouvel ordre qui se met en place. Mais que peut-il comprendre en restant en-dehors du processus, et en conservant ses préjugés de classe? «Memorias del subdesarrollo» eut un immense retentissement à l'époque, non seulement à Cuba où il marqua la naissance d'un cinéma nouveau qui accorda toujours un soutien critique à la révolution cubaine, mais dans le monde entier et particulièrement en Amérique latine. La structure même du film, mélangeant scènes de fiction et scènes documentaire, présentait une originalité certaine au moment de sa sortie. Surtout, il existe, au cœur du récit et de sa mise en scène, une réflexion à la fois théorique et très concrète, sur les conditions nécessaires, préexistantes ou à créer, à un changement radical de société.
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Ultimos dias en La Habana
Fernando Pérez
Cuba
93′
L’instabilité du monde actuel est une évidence, particulièrement à Cuba dont les relations avec son grand voisin sont dépendantes des tenants du pouvoir aux Etats-Unis. C’est dire qu’un instantané d’aujourd’hui ne peut que représenter une situation éphémère. Le dernier film de Fernando Pérez, Últimos días en La Habana est donc particulièrement bienvenu, d’autant plus que récit et mise en scène collent au plus près de la réalité. Diego et Miguel vivent dans un appartement délabré dans un immeuble qui l’est tout autant dans le centre de La Havane. Diego est cloué au lit par son SIDA et rêve de vivre. Miguel lave la vaisselle dans un restaurant privé de la capitale et rêve de fuir aux Etats-Unis. Diego libère toute l’énergie qui lui reste dans la parole et affirme haut et fort son homosexualité alors que Miguel semble n’avoir plus aucun désir et se mure dans le silence. Dissemblables au possible, une amitié profonde, secrète, les lie pourtant et Miguel soigne, nourrit Diego, essayant de satisfaire ses moindres désirs. Le réalisateur cubain Fernando Pérez est un incorrigible optimiste. Il suffit de se pencher sur son oeuvre pour s’en persuader. Et ce n’est pas Últimos días en La Habana qui pourrait nous faire changer d’avis. Pourtant La Havane qu’il nous dépeint n’a rien d’un paradis sur terre. On n’y siffle plus depuis longtemps. Une crise économique qui n’en finit pas, au contraire, quand le principal et dernier soutien, le Venezuela, est confronté lui-même à d’énormes difficultés économiques et politiques. A cela s’ajoute une profonde crise morale à Cuba où la corruption s’étend après avoir été longtemps contenue. Alors, où va-t-il donc chercher son optimisme ce cher Fernando? Eh bien, tout simplement dans les vieux immeubles décrépis de la ville où s’entasse une population hétéroclite et bigarrée, où une solidarité certaine survit malgré toutes les difficultés quotidiennes. Documentariste à ses débuts, Fernando Pérez possède un réel talent pour portraiturer ses personnages et leur donner une humanité qui suscite adhésion et émotion. L’amour et l’empathie du réalisateur pour sa ville et ses compatriotes éclatent à chaque instant. C’est ce qui rend ses films inoubliables. Celui-ci aussi. Martial Knaebel
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Una noche
Lucy Mulloy
Cuba
90′
La Havane. Pas celle des touristes, ni celle de la musique, encore moins celle de la politique et des opposants. La Havane de Una noche est celle d’une jeunesse qui ne s’y voit pas d’avenir, qui ne pense qu’à s’enfuir parce qu’elle rêve qu’au-delà des mers le monde est merveilleux. En tout cas de toute façon plus beau et plus indulgent qu’à Cuba. Pourtant, Lila et son frère Elio y semblent heureux et insouciants malgré tout. Jusqu’à l’apparition de Raul. La Habana telle que l`on ne l`a jamais vus C`est une plongée dans un univers social en totale déliquessence que nous propose Lucy Mulloy avec Una noche. Les difficultés économiques auxquelles sont confrontées les familles cubaines ne peuvent qu`amener des situations de conflit dramatique. Lila et Elio, s`ils sont heureux ensemble, ne peuvent supporter de voir leur père mener une double vie. C`est cela, plus que toute autre chose, qui les pousse à fuir. Elio travaille dans la cuisine d`un restaurant pour touristes. Il y côtoie Raul, un jeune écorché qui na que sa virilité pour s`affirmer. Sa mère est malade, il vole pour lui procurer des médicaments. Elle, se prostitue pour (sur)vivre. Brimé à son travail, il ne pense qu`à s`enfuir, persuadé qu`à Miami, si loin et si proche à la fois, il pourra trouver la fortune. Elio est troublé par la vitalité de Raul et se laisse influencé par celui-ci. L`ambiguïté de leur relation ne travaille pas Raul, concentré qu`il est sur son objectif de fuite. Celle-ci devient urgente lorsque qu’il agresse le touriste surpris avec sa mère. Leur plan devient une course contre la montre, la police cubaine étant sur ses traces. Lila n`accepte pas de voir son frère s`éloigner d`elle et oblige les deux jeunes gens à l`accepter sur le radeau qu`ils ont préparé. Un curieux triangle bientôt perdu en mer. Una noche, premier film, porte en lui un souffle extraordinaire, ayant su saisir l`essence même de la vie d`une jeunesse voulant, quelque qu`en soit le prix, forcer son destin. Nous la suivons dans sa poursuite d`un rêve de bonheur, pour l`un matériel, ou amoureux pour les autres. En fait, une jeunesse qu`on pourrait rencontrer dans bien des banlieues d`Europe. Caméra sensuelle qui caresse les corps, rythme endiablé, acteurs non-professionnels qui joueraient presque leur propre personnage, Lucy Mulloy nous montre La Havane telle qu`on ne l`a jamais vue.
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Madagascar (1994)
Fernando Pérez
Cuba
48′
Laura, prise dans le train-train de sa vie de mère et de professeure à l'université, perd toute capacité de rêver. Son adolescente de fille menace, quant à elle, de s'égarer dans des rêves interminables, toujours à la recherche d'autre chose. Y-a-t-il encore un pont entre les deux femmes, la première enlisée et incompréhensive, la seconde saisie par des crises mystiques, l'euphorie-rock et des prises de tête 'cosmiques' ? Laura commence à remettre en question sa propre vie et à considérer autrement le monde de Laurita. Leurs continuels déménagements ne sont qu'une fuite d'elles-mêmes et de ce monde sans repères ni sens. Ce monde dont aimerait enfin se détacher Laurita. Comme beaucoup d'autres jeunes, elle aimerait partir n'importe où, vers un lieu imaginaire riche de mystères et de promesses, "Madagascar", lieu de tous les rêves et de tous les désirs. A l'instar de son précédent film 'Hello Hemingway' (déjà distribué en Suisse par trigon-film), Fernando Pérez crée une réalité toute de symboles figurés subtilement et toute de sensibilité à fleur de peau. Pérez donne du relief à cette réalité non seulement de manière fascinante : il finit par peindre le portrait d'une génération - au terme de toutes les idéologies et des certitudes - avec une histoire très personnelle qui nous concerne totalement. Le ton est juste, sans pression ni remplissage, beaucoup plus avec cette sagacité à peine perceptive, propre à Pérez, de ce qui perdure en chacun de nous de nostalgie et de l'idée du bonheur. Et qui touche au c?ur même de Cuba : en atteste l'enthousiasme des spectateurs qui acclament, debout, le film dans les cinémas cubains.
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Landrían
Ernesto Daranas
Cuba
79′
Nicolás Guillén Landrián était un original, un réalisateur de documentaires et un peintre stupéfiant, dont le nom et l’œuvre n’ont longtemps été connus que des initié·es à Cuba. Le cinéaste cubain Ernesto Daranas consacre avec Landrián un long-métrage passionnant à ce talentueux premier cinéaste noir de La Havane oublié depuis longtemps. Dans ce documentaire, le réalisateur de « Conducta » non seulement explore l’artiste, son œuvre et sa vie, mais aussi effectue un travail de mémoire et de sauvegarde d’un patrimoine cinématographique menacé de disparition. Parallèlement, le film décrit de manière implacable le sort inique réservé à toutes les personnes sortant du rang dans la Cuba des Castro. Ernesto Daranas ne s’est pas contenté de tourner le long-métrage documentaire « Landrián »: il a aussi retrouvé et rénové à grands frais dix courts-métrages de Nicolás Guillén Landrián. Leur restauration fait réapparaître au grand jour un héritage que l’on croyait perdu, tout en mettant en lumière les vérités cachées liées à la censure et à l’ostracisation dont tant d’artistes ont été les victimes depuis la révolution cubaine.
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Courts métrages Landrían (1963)
Nicolás Guillén Landrián
Cuba
85′
De 1962 à 1972, Landrián a réalisé de nombreux documentaires pour l’ICAIC, l’institut cinématographique national cubain, notamment des travaux de commande pour la propagande révolutionnaire. Il était un esprit libre. Le «système» le tourmentait, le réprimait le punissait. Son œuvre a été censurée. Cinquante ans plus tard, une partie de celle–ci a pu être retrouvée et sauvée. L’initiateur de ce projet est le cinéaste Ernesto Daranas qui, en plus de la restauration de cette passionnant œuvre cinématographique, a lui–même consacré un long–métrage documentaire à son compatriote, intitulé « Landrián ». La rénovation des films documentaires de Nicolás Guillén Landrián met en lumière son héritage perdu et les sombres vérités sur la censure de son travail par la révolution cubaine. trigon–film et filmingo présentent les 7 courts–métrages suivants: 1. En un barrio viejo | In einem alten Viertel | Dans un vieux quartier -1963 – 9' 2. Los del baile | Die Tanzfreudigen | Ceux qui aiment danser - 1965 - 6’27 3. Reportaje Plenaria Campesina | Reportage Bauernversammlung | Reportage à l’assemblée paysanne - 1966 - 9,53’ 4. Ociel del Toa | Ociel vom Toa | Ociel du Toa - 1965 - 16'28 5. Un festival | Ein Festival | Un festival - 1963 - 10,12' 6. Coffea Arábiga | Kaffee Arabica | Café Arabica - 1968 - 17'37 7. Taller Claudio A. Camejo de Línea y 18. | Werkstatt Ecke Línea und 18 | Atelier à l'angle de Línea et 18 – 1971 – 14’55
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