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Al Wadi - La vallée

Ghassan Salhab, Liban, 2014

Errant sans but après avoir perdu la mémoire dans un accident de voiture, un homme est recueilli par les occupants d'une ferme de la vallée de la Bekaa, au Liban. Cette ferme se révèle être un lieu secret où ses habitants traitent de la drogue dans un laboratoire. La présence de cet étranger sans nom va entraîner des conséquences dramatiques pour cette communauté clandestine.

Ici, bien peu sépare la beauté de l'horreur. Un sentiment de danger latent imprègne les contreforts d'un paysage sublime. La catastrophe guette. Les tensions montent dans les quartiers de la maison. L'identité de cet homme sans passé devient le sujet entêtant alors que les doutes s'insinuent concernant son amnésie. Est-il un docteur ou un mécanicien? Un ange ou un espion? Comme une page blanche, il se prête à tous les fantasmes et finit par devenir un prisonnier.

A la fois concret et éthéré, avec une bande-son puissante et des images d'une grande intensité, le film montre un ensemble d'existences mélancoliques avant l'avénement de l'apocalypse alors que la radio annonce la crise politique à venir.
Errant sans but après avoir perdu la mémoire dans un accident de voiture, un homme est recueilli par les occupants d'une ferme de la vallée de la Bekaa, au Liban. Cette ferme se révèle être un lieu secret où ses habitants traitent de la drogue dans un laboratoire. La présence de cet étranger sans nom va entraîner des conséquences dramatiques pour cette communauté clandestine.

Ici, bien peu sépare la beauté de l'horreur. Un sentiment de danger latent imprègne les contreforts d'un paysage sublime. La catastrophe guette. Les tensions montent dans les quartiers de la maison. L'identité de cet homme sans passé devient le sujet entêtant alors que les doutes s'insinuent concernant son amnésie. Est-il un docteur ou un mécanicien? Un ange ou un espion? Comme une page blanche, il se prête à tous les fantasmes et finit par devenir un prisonnier.

A la fois concret et éthéré, avec une bande-son puissante et des images d'une grande intensité, le film montre un ensemble d'existences mélancoliques avant l'avénement de l'apocalypse alors que la radio annonce la crise politique à venir.
Durée
134 minutes
Langue
VO arabe
Sous-titres
français
Qualité
720p
Disponibilité
Suisse, Liechtenstein
Capharnaüm
Nadine Labaki
Liban
126′
Les parents de Zain étaient trop pauvres pour enregistrer sa naissance. Ne possédant pas de papiers, il est privé de tous les droits. Mais c’est un battant. Adroitement, il se faufile à travers les rues de Beyrouth. Pour nourrir ses nombreux frères et sœurs, il porte de lourdes livraisons pour l’épicerie d’Assadd, l’impitoyable propriétaire de la chambre qu’ils louent. Et c’est avec ce type que doit se marier sa sœur Sahar âgée de onze ans. Zain fait tout pour empêcher ce mariage, en vain. Pour finir, il s’enfuit. Dans un parc d’attractions, il rencontre Rahil. Elle propose de lui offrir le gîte, si en échange, il garde son fils d’un an. Quand un soir, Rahil ne rentre plus, Zain prend soin du bébé avec beaucoup d’amour. Avec un regard empathique, la réalisatrice Nadine Labaki montre le monde caché des enfants de la rue, les personnages principaux de son film. Ce sont notamment les extraordinaires performances des acteurs non-professionnels qui font la qualité de ce film profondément humain. Au Festival de Cannes, «Capharnaüm» a remporté le prestigieux Prix du jury.
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Costa Brava, Lebanon
Mounia Akl
Liban
105′
La famille Badri a fui Beyrouth, devenue irrespirable, pour vivre isolée dans les montagnes. Lorsque le gouvernement fait construire une décharge devant leur maison, les tensions se multiplient. En écho aux récentes explosions et à la crise des déchets dans la capitale, la jeune réalisatrice libanaise Mounia Akl a réussi une allégorie sublime de l’engagement politique et de la décadence d’un monde corrompu.
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Chaque jour est une fête (2009)
Dima El-Horr
Liban
77′
Beyrouth, de nos jours. Trois femmes qui ne se connaissent pas prennent le même bus pour aller à la prison des hommes, dans l’arrière-pays libanais. Au milieu de cette terre aride, elles vont être, à travers ce voyage, confrontées bien malgré elles à la quête de leur propre indépendance.... Diama El-Horr: «Trois femmes figées dans un contexte social et politique très tendu, où rien ne bouge, de peur d’une catastrophe imminente. Les différents événements ne révèlent que la rigidité de la situation, les empêchant de réagir, d’évoluer, de se développer. À l’instar des héroïnes de ce film, les libanais n'ont pas les moyens de changer, mais nous savons nous amuser dans un monde où notre vie ne pèse pas lourd. Nous vivons aujourd’hui dans une région dévastée par des guerres perpétuellement renouvelées, incapables de jouer un rôle efficace dans une vie politique défaillante. Nous ne pouvons que faire appel à notre imaginaire comme alternative à un paysage en noir et blanc. Pour nous le cinéma est une petite lucarne à travers laquelle nous exposons certaines de nos pensées, de nos obsessions et de nos craintes. Ces femmes ne sont ni optimistes ni pessimistes, elles attendent simplement un "miracle", comme nous... Mais les miracles existent-ils vraiment ?»
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